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Messages : 2760 Réputation : 1 Date d'inscription : 01/04/2020
| Sujet: Réécriture de texte Mer 15 Mai - 23:59 | |
| Réécriture de texte Fais les exercices proposés sur une feuille pour t'entraîner à l'épreuve de Français Vérifie ton travail en cliquant sur Corrigé Je veille à ne faire aucune erreur de copie sur les éléments non transformés : elles sont pénalisées.Changer les temps verbaux
- Lorsque je dois transformer des temps simples en temps composés (ex : des verbes à l’imparfait à conjuguer au passé composé), je respecte l’accord des participes passés!
Réécrivez ces phrases au passé composé. Faites toutes les modifications nécessaires. Quel éblouissement! J’avais l’impression de m’évanouir dans les brumes de l’ivresse. Je sortis les romans un par un de la valise, les ouvris, contemplai les portraits des auteurs, et les passai à Luo.
- Corrigé:
Quel éblouissement ! J’ai eu l’impression de m’évanouir dans les brumes de l’ivresse. J’ai sorti les romans un par un de la valise, les ai ouverts, ai contemplé les portraits des auteurs, et les ai passés à Luo.
| Changer les pronoms
- Si les pronoms changent, il faut faire attention aux accords sujet / verbe ; aux participes passés ; aux déterminants…
- "Leur" (pronom) ne s’accorde pas
- "Leur" (déterminant possessif) s’accorde avec le nom / GN qu’il qualifie.
Réécrivez ce texte en remplaçant "je le" par "nous les". Faites toutes les modifications nécessaires. Une fois, je le vis rentrer habillé à la dernière mode, la boutonnière endimanchée […] ; le surlendemain, je l’aperçus dans l’escalier vêtu d’une blouse sordide et coiffé d’un haillon de drap qui lui donnait une mine sinistre.
- Corrigé:
Une fois, nous les vîmes rentrer habillés à la dernière mode, la boutonnière endimanchée […] ; le surlendemain, nous les aperçûmes dans l’escalier vêtus d’une blouse sordide et coiffés d’un haillon de drap qui leur donnait une mine sinistre.
| Changer le genre (masculin/ féminin) / le nombre (singulier/ pluriel) Réécrivez ce texte en remplaçant "une jeune femme" par "une jeune femme et son fils". Faites toutes les modifications nécessaires. Une jeune femme vient de sortir de sa petite et coquette maison dont la porte est sur la Croisette. Elle s’arrête un instant à regarder les promeneurs, sourit et gagne, d’une allure accablée, un banc vide en face de la mer. Fatiguée d’avoir fait vingt pas, elle s’assied en haletant.
- Corrigé:
Une jeune femme et son fils viennent de sortir de leur petite et coquette maison dont la porte est sur la Croisette. Ils s’arrêtent un instant à regarder les promeneurs, sourient et gagnent, d’une allure accablée, un banc vide en face de la mer. Fatigués d’avoir fait vingt pas, ils s’assoient en haletant.
| Transformer un discours direct en discours indirect et vice versa
- Je pense à la transformation des pronoms personnels (et donc à l’accord des verbes), des déterminants et des indices spatio-temporels.
- Je respecte la concordance des temps
Réécrivez ce passage en commençant par "Peterbono hurla qu’il …" Faites toutes les modifications nécessaires. Je ne suis pas secondé … Vous êtes des galopins! Voilà tout! Des galopins. Et si votre pauvre mère ne vous avait pas confiés à moi, pour que je vous apprenne le métier, je vous flanquerai à la porte, vous entendez? A la porte … sans vous payer un mois de préavis.
- Corrigé:
Peterbono hurla qu’il n’était pas secondé … et qu’ils étaient des galopins. Il ajouta que si leur pauvre mère ne les avait pas confiés à lui, pour qu’il leur apprenne le métier, il les flanquerait à la porte sans leur payer un mois de préavis.
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Réécrivez ce texte en conjuguant les verbes aux temps du passé qui conviennent. Faites toutes les modifications nécessaires. | Peu à peu, entre les grands sapins que l’éloignement fait paraître serrés, je distingue la silhouette du jeune homme qui s’approche. Il paraît couvert de boue et mal vêtu. […] Puis, la tête dans le bras, appuyé à un tronc d’arbre, il se prend à sangloter amèrement. | - Corrigé:
Peu à peu, entre les grands sapins que l’éloignement faisait paraître serrés, je distinguai la silhouette du jeune homme qui s’approchait. Il paraissait couvert de boue et mal vêtu. […] Puis, la tête dans le bras, appuyé à un tronc d’arbre, il se prit à sangloter amèrement.
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Réécrivez le texte en conjuguant le premier verbe au passé simple. Faites toutes les modifications nécessaires. | Je sors d’une cassette en bois peint les lettres que maman m’envoie, elles sont parsemées de mots tendres, elle y évoque "notre amour", "notre séparation" […] Je reste quelque temps sans bouger, recroquevillée au bord de mon lit… Et puis tout en moi se révulse, se redresse, de toutes mes forces je repousse ça, je le déchire, j’arrache ce carcan, cette carapace. (N. Sarraute, Enfance) | - Corrigé:
Je sortis d’une cassette en bois peint les lettres que maman m’envoyait, elles étaient parsemées de mots tendres, elle y évoquait "notre amour", "notre séparation" […] Je restai quelque temps sans bouger, recroquevillée au bord de mon lit… Et puis tout en moi se révulsa, se redressa, de toutes mes forces je repoussai ça, je le déchirai, j’arrachai ce carcan, cette carapace.
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Réécrivez le passage en remplaçant "Elle" par "Jeanne et tante Lison". Faites toutes les modifications. nécessaires. | Jeanne se lamente car son fils doit la quitter pour faire des études. Elle cacha la figure dans ses mains, poussant des sanglots précipités, et elle balbutiait dans ses larmes : "J’ai été si malheureuse…Si malheureuse! Maintenant que je suis tranquille avec lui, on me l’enlève…Qu’est-ce que je deviendrai…toute seule à présent?…" | - Corrigé:
Jeanne et tante Lison cachèrent la figure dans leurs mains, poussant des sanglots précipités, et elles balbutiaient dans leurs larmes: "Nous avons été si malheureuses…Si malheureuses! Maintenant que nous sommes tranquilles avec lui, on nous l’enlève…Qu’est-ce que nous deviendrons…toutes seules à présent?…"
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Réécrivez le passage au discours indirect. Faites toutes les modifications nécessaires. | Le baron, père de Jeanne, met en garde sa fille: elle doit laisser partir son fils faire des études. Le baron hochait la tête: "Que répondras-tu s’il vient te dire, lorsqu’il aura vingt-cinq ans: je ne suis rien, je ne sais rien par ta faute, par la faute de ton égoïsme maternel?" | - Corrigé:
Le baron hochait la tête en demandant à Jeanne ce qu’elle répondrait s’il venait lui dire, lorsqu’il aurait vingt-cinq ans, qu’il n’était rien, qu’il ne savait rien par sa faute, par la faute de son égoïsme maternel.
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Réécrivez ce texte en remplaçant "Eugène" par "ils". Faites toutes les modifications nécessaires. | Eugène fut tiré de sa rêverie par la voix de la grosse Sylvie, qui lui annonça son tailleur, devant lequel il se présenta, tenant à la main ses deux sacs d’argent, et il ne fut pas fâché de cette circonstance. (H. de Balzac, Le Père Goriot) | - Corrigé:
Ils furent tirés de leur rêverie par la voix de la grosse Sylvie, qui leur annonça leur tailleur, devant lequel ils se présentèrent, tenant à la main leurs deux sacs d’argent, et ils ne furent pas fâchés de cette circonstance.
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Réécrivez le passage suivant en remplaçant "vous" par "toi". Faites toutes les modifications nécessaires. | Macbett – Et vous? Ne traînez pas non plus, prenez vos chiens policiers, entrez dans chaque chaumière, donnez l’ordre qu’on ferme les frontières. […] De quart d’heure en quart d’heure envoyez-moi des estafettes pour me tenir au courant des résultats de vos recherches. Arrêtez toutes les vieilles femmes ayant des allures de sorcières, cherchez dans toutes les cavernes. (Ionesco, Macbett) | - Corrigé:
Macbett – Et toi? Ne traîne pas non plus, prends tes chiens policiers, entre dans chaque chaumière, donne l’ordre qu’on ferme les frontières. […] De quart d’heure en quart d’heure envoie-moi des estafettes pour me tenir au courant des résultats de tes recherches. Arrête toutes les vieilles femmes ayant des allures de sorcières, cherche dans toutes les cavernes.
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Réécrivez le texte suivant en remplaçant le présent par le passé composé. Faites toutes les modifications nécessaires. | Giselle replonge dans la cohue des grands boulevards. Elle fait quelques pas hésitants, s'essuie le front, lève un instant les yeux vers le ciel implacable et, sans dire un mot, part. | - Corrigé:
Giselle a replongé dans la cohue des grands boulevards. Elle a fait quelques pas hésitants, s'est essuyé le front, a levé un instant les yeux vers le ciel implacable et, sans dire un mot, est partie.
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Réécrivez le texte suivant en remplaçant: "le passant" par "les passantes" et le présent du premier verbe conjugué par le passé simple. Faites toutes les modifications nécessaires. | Le passant égaré demande son chemin à un vieux monsieur qui débouche du parc. Celui-ci continue à sautiller, avant de se rapprocher de l'importun pour lui conseiller d'acheter un plan. Le passant, ébahi, ne sait que répondre et reprend sa route au hasard. | - Corrigé:
Les passantes égarées demandèrent leur chemin à un vieux monsieur qui débouchait du parc. Celui-ci continua à sautiller, avant de se rapprocher des importunes pour leur conseiller d'acheter un plan. Les passantes, ébahies, ne surent que répondre et reprirent leur route au hasard.
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Réécrivez ce passage en faisant parler un vieux pensionnaire qui imagine ce que sera l’été. Vous utiliserez donc la première personne du singulier et le futur. Faites toutes les modifications nécessaires. | Les vieux avaient très envie de se promener dans le parc. L’été leur faisait du bien. Ils souriaient, ils tenaient mieux sur leurs jambes que pendant l’hiver. Ils arboraient des écharpes en couleurs et des chapeaux antiques. | - Corrigé:
J'aurai très envie de me promener dans le parc. L’été me fera du bien. Je sourirai, je tiendrai mieux sur mes jambes que pendant l’hiver. J'arborerai une écharpe en couleurs et un chapeau antique.
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